La pouvoir de femmes dans Le Misanthrope, Le Cid, et L’École des femmes
Emma Link
Au 17ème siècle, il y avait beaucoup de développement dans les arts en France. Il y avait plus de dramaturges qui écrivaient plus de pièces. Ces pièces sont les commentaires de la vie quotidienne de la noblesse, et ils reflètent les idées du temps. Une des ces idées était l'état des femmes, et on peut trouver cette idée dans trois pièces: Le Misanthrope, Le Cid, et L’École des femmes. Dans Le Misanthrope, par Molière, on voit comment les femmes n’ont pas le même pouvoir qu’aujourd’hui, mais elles utilisent le petit morceau de pouvoir qu’elles ont pour avancer. Dans Le Cid, par Corneille, on voit comment les femmes sont liées par les idées de société d’honneur et les idées de leur sexe, et comment ces idées peuvent limiter leur pouvoir. Dans L’École des femmes, aussi par Molière, on voit comment Agnès est impuissant d'arrêter les hommes qui s'entourent. Mais le pouvoir des femmes dans le 17ème siècle ne semble pas permettre aux femmes d'être puissantes, les femmes ont travaillé avec ce qu'ont eu dans la société patriarcale.
L’état des femmes - qu’elles soient mariées ou non - a un grand effet sur le pouvoir que les femmes ont eu, et combien de pouvoir elles ont pu exercer. Les femmes qui n’avaient pas de maris, n’avaient pas beaucoup de pouvoir. Elles pouvaient être des nonnes, une prostituée, ou une domestique. Si elles n’aimaient pas ces choix, elles devaient marier. Donc, être une fille du roi ou se marier à un homme noble, la majorité de femmes se marient. Les femmes qui avaient un mari avaient le pouvoir tant qu’elles ont obéissées à leurs maris; si elles ne l'avaient fait pas, elles perdraient le pouvoir et leurs maris diraient qu’elles étaient de mauvaises épouses. “The choice of a [spouse] had repercussions on the social standing and material welfare of the family” (Gibson, 43); c'etait rare pour un homme et un femme disent qu’ils voulaient se marier parce que, souvent, les parents arrangaient les hymens. Il n’y a pas beaucoup de mariage d'amour à cause de cela. On peut voir comment les femmes peuvent rarement dire oui ou non; quand les parents demandent à leur enfant, c'était généralement pour la galerie (Gibson, 47) et pas parce que la fille a eu un choix.
C’etait possible d’être une femme et d’avoir le pouvoir; “it was during the … incapacity of [the] husband that [a woman] really came into her own” (Gibson, 142). Donc, les veuves avaient du pouvoir et sans un homme - dans une certaine mesure. Elles avaient besoin d'être dans les limites que la société dit (par exemple: ne pas faire ce que Célimène a fait), mais, en général, les veuves avaient plus de pouvoir avec moins d’hommes.
La question du pouvoir des femmes est très claire dans la pièce Le Misanthrope de Molière. On voit deux histoires de femmes dans Le Misanthrope: l’histoire de Célimène et l’histoire d’Éliante. Aucune des histoires n'a une fin heureuse, ce qui ajoute de l'idée que cette pièce est une tragi-comédie. Célimène, une jeune veuve, aime l’attention des hommes. Il a quatres hommes dans Le Misanthrope, et chaque homme veut se marier avec Célimène, mais elle veut juste jouer avec eux. Éliante est différent de Célimène; elle est plus calme, et elle s'intéresse moins aux hommes que Célimène; elles sont opposées. Leurs fins sont également l'inverse l’une de l’autre; Célimène est seule et déshonorée, tandis qu’Éliante est fiancée. Toutes qu’elles font tourner des hommes; elles poussent l’autre en bas. C’est intéressant aussi parce que, Éliante ne fait rien pour son avenir (voir le suivant extrait); elle dit qu’elle a des émotions pour Alceste, c’est tout ce qu'elle fait, mais elle a un fiancé à la fin. Mais Célimène, d'un autre côté, fait plus pour son avenir, et elle est seule à la fin.
Pour moi, je n’en fais point de façons, et je croi
Qu’on doit, sur de tels points, être de bonne foi :
Je ne m’oppose point à toute sa tendresse ;
Au contraire, mon coeur pour elle s'intéresse ;
Et si c'était qu'à moi la chose pût tenir,
Moi-même à ce qu’il aime on me verrait l’unir.
Mais si dans un tel choix, comme tout se peut faire,
Son amour éprouvait quelque destin contraire,
S’il fallait que d’un autre on couronnât les feux,
Je pourrais me résoudre à recevoir ses voeux ;
Et les refus souffert, en pareille occurrence,
Ne m’y ferait trouver aucune répugnance. (Acte 4, Scène 1, Vers 1191-1202)
On peut voir ici qu’Éliante est la moyen, et ce illustré par la variation entres les rimes. Ces fins montent l'idée que c’est meilleur d'être passive que prendre votre avenir dans votre propre mains. Sur cette idée, c’est clair dans Le Misanthrope que “women define their worth as individuals in terms of masculine admiration, whereas [the] men possess an innate sense of their own authority” (Cholakian, 524-525). La citation explique le pouvoir que les hommes tiennent au-dessus des femmes; les femmes ne peuvent pas penser de lui-mêmes sans penser à comment les hommes les perçoivent. Qu'importe la façon dont les femmes prennent le pouvoir, les hommes ont toujours plus.
La question du pouvoir des femmes dans Le Cid est trop claire comme dans Le Misanthrope, mais on peut voir comment les femmes étaient restreintes. Le deux grands exemples dans Le Cid sont Chimène et l’Infante. L’Infante est une princesse, mais elle ne peut pas épouser l’homme qu’elle aime; il y a des restrictions sur la personne avec qui elle peut se marier parce qu’elle est une princesse et elle doit se marier pour avancer le pays, non pas pour l'amour. Chimène est un peu différente de l’Infante; son mariage est moins important que le mariage de l’Infante, mais elle ne peut pas être avec l’homme qu’elle aime parce qu’il a tué son père. C’est une torture pour Chimene parce qu’elle aime Rodrigue, mais elle ne le devrait pas. Son cœur dit oui, mais sa tête dit non. On peut voir l’épreuve de Chimène ici:
Et de quelque façon qu’éclatent mes douleurs,
Je ne t’accuse point, je pleure mes malheurs.
Je sais ce que l’honneur, après un tel outrage,
Demandait à l'ardeur d’un généreux courage :
Tu n’as fait le devoir que d’un homme de bien ;
Mais aussi, le faisent, tu m’as appris le mien. (Acte 3, Scène 4, Vers 907-912)
La répétition de «je» et «tu» montre l’épreuve entre qu’est-ce que Chimène veut (le «tu») et qu’est-ce qu’elle doit faire (le «je»). Chimène sait que Rodrigue est honorable, mais parce qu’il fait le chose honorable, elle ne peut pas être avec lui, parce qu’elle doit être honorable aussi. Rodrigue, qui aime Chimène, veut se marier à Chimène malgré les obstacles qu’il affronte. Cependant, on ne sait jamais si Chimène veut se marier après la mort de son père: “Chimene's possible scorn for an unworthy lover is replaced in Rodrigue's mind as an obstacle to their marriage by her probable hatred and anger caused by the murder of her father” (Goode, 46). Pour Rodrigue, gagner Chimène est juste une autre chose qu’il a besoin faire. On peut voir le dichotomie de pouvoir entre les femmes et hommes ici; une femme est juste un objet pour posséder dans l’avis des hommes.
La question du pouvoir des femmes est claire L’École des femmes aussi, mais dans un sens différent. Les deux hommes centraux, Arnolphe et Horace, aiment Agnès, mais dans un façon qui montre l'idée qu’ils aiment un objet, pas une personne. Agnès ne fait presque rien dans cette pièce, et elle est assez impuissant contre les actions des autres. Donc, ici, on voit l'opposé du Cid et du Misanthrope parce que, dans ces deux œuvres, les femmes sont les personnes qui veulent les choses, et qui prendraient des actions d’avoir les choses qu’elles veulent. Dans L’École des femmes, Agnès ne le fait pas; elle est juste là. Elle n’a pas la chance de vouloir les choses, et encore moins d'opportunité de prendre ces choses. Elle est la définition de dépendant. Mais c’est que Arnolphe veut; il aime l'idée que “man is all, woman is nought, honor is safe” (Gutwirth, 352). Il veut une femme impuissant, qui ne peut pas penser, qui n’a pas les opinions, et qui fera tout qu’il dit a elle. Arnolphe est un exemple extrême, mais il est basé sur la vérité; il y avait les hommes qui voulaient une femme qui est comme ça. Il y avait des hommes qui avaient peur des femmes qui pouvaient penser, et qui pouvaient se préconiser. Également, à cause des actions d’Arnolphe, Agnès n’est pas très intelligente; elle ne comprend pas les choses très simples, et on peut le voir dans Acte 2, Scène 5, juste en général, mais particulièrement dans vers 519-526:
- Hé ! Mon Dieu ! ma surprise est, fis-je, sans seconde :
Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde ?
- Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas,
Ma fille, ont un venin que vous ne savez pas.
En un mot, il languit, le pauvre misérable ;
Et s’il faut, poursuivit la vieille charitable,
Que votre cruauté lui refuse un secours,
C’est un homme à porter en terre dans deux jours.
Presque tout est l’hyperbole - c’est impossible pour les humains de tuer avec leurs yeux - mais Agnès ne le comprend pas. Mais, la femme qui le dit et Horace, qui l’emploie, profite de l’ignorance d’Agnès. Donc, on peut voir comment les hommes de ce temps manipulent les femmes dans penser qu’elles choisissent, avec leur pouvoir, mais c’est vraiment le plan des hommes.
Ce n’est pas choquant que les femmes aient combattu pour le pouvoir pendant beaucoup de siècles. Dans ces œuvres, c’est clair que les femmes sont impuissantes contre le pouvoir des hommes. Dans Le Misanthrope, Le Cid et L’École des femmes, il y a des exemples de femmes qui n’ont pas de choix mais d’orbiter les hommes dans leur histoire. Aujourd’hui, il y a une discussion autour de comment les problèmes pour les femmes sont différents que ceux des femmes au 17ème siècle. Mais, toutes les femmes souffrent de la patriarchie, et comment les hommes ont plus de pouvoir qu’elles. On a beaucoup de choses à changer si on veut que notre monde soit différent pour les prochaines générations de femmes.
Bibliographie
Cholakian, Patricia Francis. “The ‘Woman Question’ in Moliere’s Misanthrope.” The French Review, vol. 58, no. 4, 1985, pp. 524–32. JSTOR, http://www.jstor.org/stable/392817. Accessed 9 Mar. 2023.
Gibson, Wendy. Women in Seventeenth-Century France. St. Martin's Press, New York, 1989, pp 17-69, 141-167
Goode, William O. “Hand, Heart, and Mind: The Complexity of the Heroic Quest in Le Cid.” PMLA, vol. 91, no. 1, 1976, pp. 44–53. JSTOR, https://doi.org/10.2307/461394. Accessed 10 Mar. 2023.
Gutwirth, Marcel. “Molière and the Woman Question: ‘Les Précieuses Ridicules, Des Femmes, L’Ecole Les Femmes Savantes.’” Theatre Journal, vol. 34, no. 3, 1982, pp. 345–59. JSTOR, https://doi.org/10.2307/3206924. Accessed 29 Apr. 2023.
Emma Link is a junior French major at Saint Anselm College, with a minor in International Relations. She is heavily involved in Residential Life, The Abbey Players, French Club, and she occasionally writes for The Crier as well. When not collecting extracurriculars like Pokémon, she enjoys reading, watching TV, and hanging out with her friends. She is very honored that her work has been chosen to be published in this year's humanitas